La suite de démêlés judiciaires pour Éric Piolle. Le procureur n’a pas demandé pas de sanction contre le maire de Grenoble ce mardi 27 septembre L’écologiste a été condamné à deux jours par le tribunal de Valence et accusé de favoritisme.
C’est maintenant au juge d’en décider.
La mairie de Grenoble en vue
Ce lundi 26 septembre, au matin, Éric Piolle se rendait au tribunal de Valence. Le maire de Grenoble a été accusé de favoritisme.
Plus précisément, la mairie de Grenoble a été accusée de favoritisme et le conseil de l’environnement a comparu en justice pour représenter ses services.
La suspicion de la justice française liée à l’attribution d’une partie du preuve de tuile en 2015 et 2016.
Un club réputé proche du maire vert
Lors des éditions 2015 et 2016 de la Fête des Tuiles, le maire de Grenoble a confié une partie de l’organisation à l’association Fusées. De quoi la ville est-elle accusée ? L’absence de concours, obligatoire pour un marché public, qui avait empêché certains acteurs locaux de postuler.
L’association Fusées est proche du maire, ayant loué ses locaux à l’équipe de campagne d’Eric Piolle. La ville s’est défendue avant le procès, invoquant le droit de ne pas ouvrir de marché public s’il s’agissait d’une activité culturelle.
Selon un rapport de la Chambre des comptes de l’État en 2018, une enquête avait été ouverte. C’était Eric Piolle placé en garde à vue le 1er juin 2021 dans le cadre de cette affaire de favoritisme.
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