Le bureau du procureur général Grenoble décidé de faire appel décision de libération prononcée par le tribunal correctionnel de Valence dans un question de parrainage le maire de Grenoble était suspecté de cela Eric Pioléa annoncé mardi la ville de Grenoble.
« La Ville de Grenoble a été informée ce jour que le procureur de la République de Grenoble contre le tribunal correctionnel de Valence le 25 octobre 2022 au sein des 1 services d’Eric Piolle dans un communiqué.
Détente générale
L’édile de 49 ans a comparu fin septembre avec six coaccusés devant le tribunal de la Drôme – où l’affaire avait été déplacée – sur des faits présumés d’avantage indu accordé à l’association « Fusees », et l’a inculpé d’avoir organisé une en 2015 et 2016 les fêtes populaires de Grenoble.
Lors du procès fin septembre et après des débats assez techniques, le procureur Laurent de Caigny avait épargné Eric Piolle car il estimait qu’il n’y avait aucune certitude « qu’il ait manœuvré » ou « caché ». Il n’avait donc pas demandé de condamnation, mais sans demander expressément sa libération. Le tribunal correctionnel de Valence avait relaxé tous les prévenus.
Dans le cadre de cette affaire, Eric Piolle a été entendu en garde à vue dans les locaux de l’Office de police judiciaire en juin 2021, quelques mois plus tard par les primaires écologistes de la dernière élection présidentielle. La procédure faisait suite à une enquête ouverte en 2018 à la suite d’un rapport à la Chambre nationale des comptes (KRK).