L’événement « Grenoble, Capitale verte européenne 2022 » se termine le 31 décembre. Plus de 700 événements et projets d’avenir ont été créés cette année pour le maire de la capitale alpine, Eric Piolle.

L’événement « Grenoble, capitale verte de l’Europe 2022 » a donné lieu à plus de 700 animations, conférences ou ateliers, ce qui en fait « un tremplin pour l’avenir » en matière de développement durable, selon l’écologiste et maire Eric Piolle.

Grenoble, en 2022, a réussi à devenir la 13e ville d’Europe à recevoir ce titre, après Lahti en Finlande, et la deuxième en France après Nantes en 2013. Ce titre, décerné par la Commission européenne, récompense et encourage une ville qui se dépasse through distingue leur travail bénévole et leurs actions en faveur de l’environnement.

« Cette Année de la Capitale Verte est avant tout une fierté pour notre territoire, une reconnaissance de ce qui a déjà été accompli, mais surtout un tremplin pour l’avenir », a souligné Éric Piolle. Un programme de financement de projets doté de plus de 600 000 euros, les « Green Boosts », a soutenu 114 projets collectifs et 68 projets d’éducation à l’environnement et à la transition dans les écoles et universités de l’Isère. La zone a également poursuivi ses efforts dans divers domaines tels que la réhabilitation thermique, la replantation et la conversion alimentaire.

L’Agence Grenoble Capitale Verte Européenne estime qu’environ 200 000 personnes ont participé aux différentes manifestations.

« Nous avons dû accueillir la plupart des habitants, des acteurs, et aujourd’hui nous pouvons dire que nous avons réussi. Mais cela ne s’arrête pas au 31 décembre 2022. Tout ce que nous avons initié avec succès, nous allons continuer », a assuré Maud Tavel, Présidente. de l’Agence Capitale Verte Européenne Grenoble et élu local.

La métropole grenobloise s’est engagée en 2020 dans un plan air climat énergie, qui vise notamment à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 50 % et sa consommation d’énergie de 40 % d’ici 2030 par rapport à 2005 et à porter à 30 % la part des énergies renouvelables et de récupération énergies sur la consommation d’énergie finale. Grenoble cède la place à Tallinn le 1er janvier avant Valence, Espagne, en 2024.